[Journal] La jeune recrue Bontarienne

Prologue :
Voilà plusieurs années que je me bats. Mais pourquoi ? Fortune ? J'ai ce qu'il faut. Famille, amis ? Je n'en ai pas vraiment. Gloire ? Ça peut être intéressant.

Il y a quelques jours, un soldat est venu me voir et m'a parlé de la milice Bontarienne. Je la connais déjà, elle n'est pas aussi "pure" qu'elle le raconte, mais après plusieurs jours de réflexion, je me dis pourquoi pas.
Aujourd'hui, je m'en vais donc voir Amayiro, le maître d'armes de la cité.

Intégration :
Amayrio a refusé ma demande d'intégration à la milice. Il désire tout d'abord que je lui rende un service. Lui apporter une dizaine d'épées pour les entraînements. Certes, je peux les faire facilement ayant des talents de forgeron mais je trouve cela dommage que l'on demande cela rien que pour s'engager. Au bout d'une heure, je suis revenu avec mes épées et obtenu le rang de Néophyte. Pas pour très longtemps j'espère.

Première mission :
Amayiro souhaite me tester, je dois affronter Tarche, le gardien des réserves de poudre. Il m'a l'air d'un solide gaillard mais pas très bien entraîné.
Quelle déception... Cet homme est horriblement faible, je crains que même les pious auraient eu raison de lui...
Le maître d'armes semble cependant satisfait de moi.

Seconde mission :
On m'a chargé de m'occuper d'ivrognes, chouette travail que voilà. Deux-trois coups les calmeront, mais je dois en premier lieu aller voir la serveuse agressée.
Mhh... Il semblerait que Dame Cloude veuille juste donner une lettre avec les noms à Amayiro, ce n'est pas moi qui me chargerait d'eux, tant pis.

Troisième mission :
Je suppose qu'on ne demande que de petits travaux aux nouveaux comme moi, soit.
Je dois apporter une vingtaine de fougasses pour les soldats malades. Rien de bien dur.

Quatrième mission :
Ha ! Intéressant, je dois massacrer des chafers et récupérer leurs dents pour un dentier. Un bon arracheur et je peux partir pour le cimetière d'Amakna.
Les trente-deux dents en ma possession, je peux retourner à Bonta les livrer. C'était simple mais divertissant.